Conférences au Faso sur le Numérique : un panel pour tirer la sonnette d’alarme sur la fracture numérique entre les genres
Ce panel, 2ème du genre, a été animé par Docteur Aminata ZERBO/SABANE, Directrice générale de l’ANPTIC et Madame Christelle ASSIROU, présidente de l’ONG Femmes et TIC de Côte d’Ivoire avec comme modératrice, Madame Meryam ZIANI, chargée d’innovation à l’IRD Burkina Faso. Avant que les panelistes n’abordent le sujet, le Directeur Général du Développement de l’Industrie numérique, Monsieur Rodrigue GUIGUEMDE a fait ressortir l’importance de cette conférence. Il s’agit selon lui, d’offrir un cadre aux femmes pour mieux discuter de leur représentativité dans le processus de transformation digitale. « Un rapport sortira de cette rencontre et sera transmise aux autorités pour que les propositions faites ne restent pas sans suite », a poursuivi Monsieur Rodrigue GUIGUEMDE.
D’entrée, les deux panélistes ont défini la transformation digitale comme étant le processus de mutation de la société basé sur le numérique. Les préalables pour y arriver sont entre autres le développement d’une vraie culture digitale, la réalisation d’infrastructures, la dématérialisation des services, et le développement du capital humain.
Les deux panelistes ont ensuite fait un état des lieux de l’engament des genres dans le processus. Il ressort qu’il y a bel et bien une fracture numérique entre les genres dans le processus de transformation digitale au Burkina Faso et en Afrique au regard des statistiques dont elles disposent. Le numérique a un visage masculin, à l’image de beaucoup d’autres secteurs, a soutenu Madame Docteur Aminata ZERBO/SABANE.
Elle tout comme sa collègue paneliste ont fait des propositions pour une meilleure prise en compte des femmes dans le processus de la transformation digitale. Il s’agit de la sensibilisation, de la formation des filles, de la prise de mesures incitatives, de la valorisation et de la promotion des femmes qui sont déjà dans les métiers du numérique.
Ce panel, 2ème du genre, a été animé par Docteur Aminata ZERBO/SABANE, Directrice générale de l’ANPTIC et Madame Christelle ASSIROU, présidente de l’ONG Femmes et TIC de Côte d’Ivoire avec comme modératrice, Madame Meryam ZIANI, chargée d’innovation à l’IRD Burkina Faso. Avant que les panelistes n’abordent le sujet, le Directeur Général du Développement de l’Industrie numérique, Monsieur Rodrigue GUIGUEMDE a fait ressortir l’importance de cette conférence. Il s’agit selon lui, d’offrir un cadre aux femmes pour mieux discuter de leur représentativité dans le processus de transformation digitale. « Un rapport sortira de cette rencontre et sera transmise aux autorités pour que les propositions faites ne restent pas sans suite », a poursuivi Monsieur Rodrigue GUIGUEMDE.
D’entrée, les deux panélistes ont défini la transformation digitale comme étant le processus de mutation de la société basé sur le numérique. Les préalables pour y arriver sont entre autres le développement d’une vraie culture digitale, la réalisation d’infrastructures, la dématérialisation des services, et le développement du capital humain.
Les deux panelistes ont ensuite fait un état des lieux de l’engament des genres dans le processus. Il ressort qu’il y a bel et bien une fracture numérique entre les genres dans le processus de transformation digitale au Burkina Faso et en Afrique au regard des statistiques dont elles disposent. Le numérique a un visage masculin, à l’image de beaucoup d’autres secteurs, a soutenu Madame Docteur Aminata ZERBO/SABANE.
Elle tout comme sa collègue paneliste ont fait des propositions pour une meilleure prise en compte des femmes dans le processus de la transformation digitale. Il s’agit de la sensibilisation, de la formation des filles, de la prise de mesures incitatives, de la valorisation et de la promotion des femmes qui sont déjà dans les métiers du numérique.