Dans son mot de bienvenue, le Représentant du comité de suivi, Dr Yaya TRAORE par ailleurs Secrétaire Permanent de l’Innovation et de la veille sur les technologies émergentes du numérique (SPIVTEN) a indiqué que les travaux de suivi entre le comité et l’équipe des consultants se sont bien déroulés.

Pour le Représentant du PNUD, Eloi KOUADIO IV, la validation des documents arrive à point nommé et permettra à l’ensemble des acteurs présents ce matin, de se prononcer sur les orientations édictées dans ses livrables de vision nationale sur la digitalisation en vue d’avoir un document de référence pour les années futures. Il a rassuré de la disponibilité de son institution à accompagner le gouvernement du Burkina Faso sur les grands chantiers de la digitalisation.

Dans son discours officiel d’ouverture de l’atelier, Kisito TRAORE a, au nom de la Ministre de la Transition digitale, des Postes et des Communications électroniques souhaité la bienvenue à tous les participants. Il a salué la forte mobilisation des participants et l’équipe des consultants pour le travail abattu. « Notre département a initié cette étude en collaboration avec le PNUD afin de prendre en compte toutes les technologies émergentes en embrassant tous les secteurs socioéconomiques en garantissant l’inclusion de toutes les couches sociales », a-t-il soutenu. Poursuivant, il a indiqué que l’objectif du présent atelier est de soumettre à l’appréciation des participants des documents clés qui sont entre autres le Rapport diagnostic, le Document de la vision de la transformation, la Digitale inclusive et le Plan de dissémination de la vision. Il a souhaité que les participants examinent minutieusement le rapport car sa validation est une étape importante à la transformation digitale dans notre pays et mieux ledit document pourrait être un document de référence pour notre pays et pour l’ensemble de nos partenaires. Ensemble, nous pouvons faire en sorte que la transformation digitale profite à tous les citoyens de notre pays en garantissant l’accès équitable aux technologies de l’Information et de la Communication et en favorisant l’inclusion de tous les segments de la population, a estimé le Secrétaire général.

A en croire les experts de l’étude, les défis majeurs de la transformation digitale du Burkina Faso sont entre autres le capital humain, le leadership, la gouvernance et la confiance et surtout le financement du secteur digital. Après des échanges bien fournis, les participants ont pré-validé l’étude sur « l’analyse approfondie des politiques et stratégies du numérique en vue de formuler une vision de la transformation digitale » en attendant la prise en compte de certaines contributions.

Prononçant son mot de clôture, le Secrétaire général a saisi l’occasion pour saluer l’engagement de toutes les parties car le document final témoigne de la qualité du travail abattu par chaque entité. Il a remercié vivement les PTF, les participants, l’équipe des consultants et du comité de suivi pour la franchise des échanges tout au long de l’atelier, ce qui a permis d’obtenir un document de référence et de qualité sur la transformation digitale de notre pays.

DCRP/MTPCE